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Affaire Saër Kébé, agenda des pays occidentaux: les graves révélations de Jamra

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IL AVAIT commis une erreur de jeunesse (qui n’en a pas faite) en annonçant sur sa page Facebook des attentats contre les ambassades américaine et d’Israël à Dakar. Ce qui avait valu au jeune élève en terminal S2, au Lycée Demba Diop de Mbour, quatre longues années de détention préventive derrière les barreaux de la Prison du Cap Manuel, pour des faits présumés D’APOLOGIE DU TERRORISME visés par l’article 279-6 du Code pénal. LE JOUR DU PROCÈS, les plaidoiries ont été de haute facture, ce mercredi 27 mars 2019 à la Chambre criminelle. Les vaillants avocats de la défense (Maitres Assane Dioma Ndiaye, Babacar Ndiaye, Abdoulaye Tall, Moussa Sarr, Abdou Dialy Kane) ont pu démontrer, devant le ministère public, que pour que l’infraction d’apologie du terrorisme soit établie il faut que ces trois conditions soient réunies: la Glorification, la Valorisation, la Justification. OR, il n’y a pas eu de commission d’actes terroristes, préalablement aux commentaires, jugés apologistes que Saër avait postés sur Facebook. Et qui lui valurent d’être pénalement poursuivi. Même si son acte est moralement répréhensible, avait soutenu la défense, il ne peut être considéré comme délictueux, encore moins criminel. Lors du Délibéré, le 10 avril 2019, Saër Kébé s’en tira à bon compte. En effet, le Juge n’avait pas suivi le Parquet qui, dans un sévère réquisitoire, avait requis cinq ans de réclusion criminelle. MAIS LA CHAMBRE ESTIMA, en fin de compte, que les faits d’apologie et d’acte de terrorisme n’étaient pas établis.

Le brillant élève du Lycée Demba Diop de Mbour, Saër Kébé, écopa alors d’une peine symbolique de trois (3) mois avec sursis. Et quitta dans les heures qui suivirent le Quartier de haute sécurité de la Prison du Cap-Manuel. Où JAMRA lui avait rendu visite, après avoir précédemment tenu un point de presse chez ses parents, à Pikine-Guinaw-Rail-Nord, Quartier Médinatoul Mounawara. LE BRAVE SAËR KÉBÉ, ayant repris ses cours au Lycée Demba Diop de Mbour, se fixa alors comme challenge, pour rattraper le temps perdu, de passer son baccalauréat au mois d’octobre suivant, quitte même à changer de série (il est passé de S2 en L2). L’EX-PENSIONNAIRE de la Maison d’arrêt pu réussir avec brio son examen au baccalauréat, avec une bonne mention. Ce défi étant relevé, Saër Kébé s’inscrivit sans tarder à l’IAM (Institut africain de management), où il bénéficia d’une bourse d’études, gracieusement offerte par le patron de la boîte, Moustapha Guirassy. A qui JAMRA exprima toute sa gratitude d’avoir si généreusement donné l’opportunité à ce brave étudiant de poursuivre sa brillante carrière !

Mais nul ne pouvait imaginer que le Parquet allait, deux ans plus tard, revenir à la charge. En effet, SAËR KÉBÉ a reçu, le jeudi 25 mars dernier, par voie d’huissier, une ASSIGNATION À COMPARAÎTRE à nouveau devant la Chambre criminelle. CE REBONDISSEMENT est la conséquence de L’APPEL INTERJETÉ par le Parquet général, contestant le jugement préalablement rendu par la Chambre criminelle du Tribunal de Grande instance hors classe de Dakar, le 10 avril 2019, portant ACQUITTEMENT de SAËR KÉBÉ du chef d’inculpation D’APOLOGIE DU TERRORISME. C’EST donc ce lundi 26 avril 2021 que le brillant élève du Collège Demba Diop de Mbour, aujourd’hui étudiant à l’I.A.M., Institut africain de management, a fait à nouveau face aux juges de la Chambre criminelle pour être définitivement édifié sur son sort. MAIS COUP DE THÉÂTRE au Temple de Thémis, qui a vu le cas Saër Kébé prendre une tournure inattendue. En effet, c’est la première fois dans les annales de la Chambre criminelle qu’une affaire, classifiée criminelle soit tranchée séance tenante, consécutivement à la plaidoirie de la défense et du conclave des juges de la Chambre des Appels criminels de la Cour d’Appel, dont le verdict est claire comme l’eau de roche. ET QUI n’est ni plus ni moins qu’une CONFIRMATION DU JUGEMENT DE 1ère
INSTANCE: SAËR KÉBÉ n’est plus reconnu coupable des infractions d’apologie du terrorisme, encore moins de menaces terroristes! IL EST LIBRE comme l’air. Et est retourné de sitôt vaquer tranquillement à ses occupations. Notamment ses études supérieures à l’IAM (Institut africain de management). C’est le lieu de rendre un vibrant hommage à Maître Moussa Sarr, qui se sera non seulement investi corps et âme, aux côtés de ses collègues de la défense, pour rétablir le jeune Saër Kébé dans ses droits, mais a volontiers effectué les démarches nécessaires auprès du patron de l’IAM, Moustapha Guirassy, pour l’intégration de Saër Kébé dans ce prestigieux établissement, où il poursuivra son cursus en Administration des Affaires (il est en 2e année). MENTION SPÉCIALE au directeur de l’IAM, qui aurait parfaitement pu réserver une fin de non-recevoir à la requête de Me Moussa Sarr, au prétexte que les présumés faits imputés à son jeune client, peuvent être de nature à porter atteinte à l’image de son institution.
L’ONG ISLAMIQUE JAMRA et l’Observatoire de veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses, MBAÑ GACCE, adressent leurs chaleureuses félicitations à tout le pool d’avocats de la défense. Et saluent la pertinence de la décision de la Chambre des Appels criminels de la Cour d’Appel. Dont l’acte fort rappelle à juste titre que le TERRORISME EST CERTES UN FLÉAU des temps modernes, auquel toutes les forces du monde libre doivent s’évertuer à faire face, en synergie. Mais surtout en gagnant à GARDER LA TÊTE FROIDE, pour éviter de céder aux préjugés simplistes, et à la dangereuse PSYCHOSE SÉCURITAIRE, qui risque de saper les bases même de la Démocratie et de compromettre les fondamentaux des libertés publiques. C’EST CE QUE les États-Unis ont compris. Censés être la cible privilégiée du terrorisme internationale, la première puissance mondiale semble à présent avoir bien intériorisé la nécessité de mettre un bémol au «tout-sécuritaire», qui a maintes fois failli faire basculer ce porte-étendard de la Démocratie vers un État de siège. À force de céder à la panique, en laissant s’installer une insidieuse tendance à la confiscation des libertés publiques. À la grande satisfaction, naturellement, des mouvances jihadistes, qui justement usent du «diktat de la terreur», comme arme de prédilection, «pour empêcher aux mécréants de vivre en paix»! DEPUIS qu’ils ont compris qu’ils étaient en train, en toute bonne fois, de faire le «Jeu du démon», les USA ont opté – du moins sous le magistère du Président Barack Obama – de «rectifier» (même s’il ne le disent pas expressément) les excès de zèle du FBI et de la CIA, qui ont valu à de nombreux prévenus, barbus, coupables du délit de faciès, d’avoir été injustement jetés dans les geôles du célèbre Centre de détention de Guantanamo, dans l’enclave américaine de l’île de Cuba, dont des Commissions d’enquêtes parlementaires (américaines et européennes) ont eu à dénoncer les conditions inhumaines de détention.

AYANT PROMIS DURANT SA CAMPAGNE électorale d’enclencher un processus de démantèlement de Guantanamo, le Président Obama, même s’il n’a pas atteint la totalité de son objectif en quittant la Maison Blanche en 2016, aura eu le mérite d’avoir réduit ce «camp de concentration moderne» à sa plus petite expression. Il ne restait en effet plus que 61 prisonniers, en août 2016, sur les 242 détenus, qu’avait trouvés Obama en arrivant au pouvoir en 2008 ! LA LENTEUR du processus d’élargissement tenait moins de la volonté politique du chef de l’Exécutif américain que de sa difficulté à trouver des pays d’accueil à ces parias que le Pentagone avait fini par cataloguer pudiquement de «détenus libérables». Et dont la plupart avaient été arrêtés dans des circonstances illégales aux yeux de la loi américaine. Les Etats-Unis exprimèrent alors publiquement leur reconnaissance aux pays d’accueil, dont certains Emirats arabes, le Ghana et le Sénégal, «pour (leur) geste humanitaire et (leur) volonté de soutenir les efforts en cours des États-Unis pour fermer le Centre de détention de Guantanamo», indiquait le communiqué du Pentagone. LE GOUVERNEMENT du Sénégal a choisi la date symbolique du 4 avril 2016, jour de la fête nationale, pour faire l’annonce officielle de «l’asile humanitaire» qu’il avait décidé d’accorder à deux ex-détenus de Guantanamo, les ressortissants libyens, Omar Khalif Mohammed et Salem Abdul Salem Ghereby. Lesquels étaient suspectés d’accointances avec la mouvance jihadiste internationale Al-Qaïda. LE GOUVERNEMENT du Sénégal avait mis en exergue, dans son communiqué, que «cet asile humanitaire s’inscrivait dans la tradition d’hospitalité sénégalaise et de solidarité islamique envers deux frères africains». Des ressortissants libyens, détenus sans procès durant 14 ans, et finalement libérés sans qu’aucune charge n’eût été retenue contre eux ! JAMRA et MBAÑ GACCE souhaitent à l’étudiant Saër Kébé une bonne poursuite de sa brillante carrière universitaire. Et exhortent les jeunes passionnés des réseaux sociaux à faire preuve de la plus grande vigilance dans le contenus des publications qu’ils postent dans ce village planétaire virtuel, où des «kaff» (plaisanteries de mauvais goût), d’apparence bénignes, peuvent avoir des conséquences inattendues. Voire tragiques. Dakar, le 26/04/2021 Les Bureaux exécutifs de JAMRA & MBAÑ GACCE bonne gouvernance, détenteur de surcroît des cordons de la bourse. Le site officiel de la Maison Blanche (http://wh.gov/R8Su ) en avait déjà, sous le magistère du président Barack Obama, administré nettement la preuve. DANS une proclamation gouvernementale, intitulée: «Us Leadership to Advance Equality for Lesbian, Gay, Bisexual and Transgender People Abroad», il y est officiellement révélé le credo de la nouvelle politique étrangère que l’administration américaine «démocrate» compte désormais mettre en œuvre, pour mieux imposer la vision américaine du monde. Et c’est une voix aussi autorisée que celle de Samantha Power, ci-devant Conseillère
Spéciale du Président Barack Obama, qui en avait énoncé le postulat, dans un mémorable prêche, signé le 13 décembre 2012 : «I described how advancing the human rights of lesbian, gay, bisexual and transgender (Lgbt) people around the world is central to, not separate from, our comprehensive human rights agenda». Autrement dit, «faire avancer la cause des droits des lesbiennes, des homosexuels, des bisexuels et des transsexuels, partout dans le monde, est désormais une option centrale et inséparable de la perception américaine des droits de l’Homme et de leur agenda politique». On ne peut être plus clair ! EN PARFAIT «duplicata» de la voix de son maître, Barack Obama, dont il fut le vice-président, le nouveau chef de la Maison Blanche, Joe Biden, avait pourtant clairement annoncé la couleur, durant sa campagne électorale : «Je ferai de la promulgation de la loi sur l’égalité une priorité de mes 100 premiers jours; une priorité à laquelle Donald Trump est opposé», avait déclaré le candidat démocrate Joe Biden. Qui promettait ainsi, sans ambages, de donner la priorité absolue à l’adoption de la législation sur les droits des homosexuels, baptisée sous le label de «Equality Act», dans les 100 premiers jours de son mandat présidentiel. MIEUX, Joe Biden, avocat attitré de la cause des LGBT (lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres), s’était également engagé, durant la campagne, à étendre les droits des LGBT au niveau international, en faisant de cette problématique un élément central de la diplomatie américaine. SOUS LE MAGISTÈRE de Donald Trump, l’administration américaine s’était par contre fermement opposée à cette loi, initiée en 2011 par Obama, arguant que cette disposition législative «saperait les droits des parents et le sens moral. Et détruirait la notion de famille». Donald Trump freina alors des quatre fers, pour bloquer ce projet de LGBTisation du droit américain, «au nom de la liberté religieuse», disait-il. MAIS ce ne fût que partie-remise, car les démocrates, aujourd’hui de retour au pouvoir, reviennent de plus belle à la charge, avec comme porte-étendard des lobbies LGBT le président Joe Biden lui-même, déterminé à renouer avec la politique libertine sulfureuse de son ex-mentor Barack Obama. Dans son premier discours de politique étrangère, prononcé le jeudi 04 février dernier, le président Joe Biden a demandé aux agences américaines d’exécution ou d’aide au développement, présentes à l’étranger, comme l’USAID (Agence des États-Unis pour le développement international), l’USTDA (Agence américaine pour le commerce et le développement), etc, de présenter, dans un délai de six (6) mois, un plan d’action pour faire de cette politique américaine pro-LGBT un axe fort de leurs interventions. JOIGNANT l’acte à la parole, le régime de Joé Biden a déjà commencé à adresser des mises en garde, teintées de menaces, aux pays récalcitrants, comme la Turquie de Recep Tayyip Erdogan. Et c’est le porte-parole du département d’Etat, Ned Price, un homosexuel notoire, qui est monté au créneau, pour critiquer sèchement la Turquie, suite au «sermon incendiaire», du 03 février dernier, du président Recep Tayyip Erdogan, fustigeant les adeptes des déviances sexuelles. Ainsi, la plus grande puissance économique, technologique et militaire du monde, détenteur de surcroît des principaux cordons de la bourse mondiale, n’a pas du tout l’air de plaisanter, pour imposer sa vision du monde aux États homophones. À cet effet, il ne serait pas surprenant que les «Biden boys» s’inspirent des mesures coercitives caractéristiques de la diplomatie américaine sous le règne de Obama. Et qui avaient valu à l’Ouganda, du président Yoweri Museveni, et à la Gambie, de Yahya Jammeh, d’être privés du soutien économique américain, notamment par l’annulation du «statut commercial préférentiel», qui leur était conféré, en représailles à leurs lois sanctionnant l’homosexualité de peines privatives de liberté. LES PEUPLES AFRICAINS, attachés à leurs valeurs culturelles ancestrales, ne manqueront certainement pas d’avoir la nostalgie du regretté président du Zimbabwe, le brave Robert Mugabé, pour la réplique mémorable qu’il avait servie au Premier ministre anglais, David Cameron, alors porteur de cette proposition indécente. Les puissances- satellites des USA, se font fidèlement l’écho de la voix du Maître. Et ne font plus mystère de leurs volontés de faire sien l’inquiétant prosélytisme américain. Le Président zimbabwéen Robert Mugabé a failli piquer une crise de nerf, lorsque le Premier ministre britannique David Cameron s’était risqué, à l’occasion du sommet du Commonwealth du 25 février 2012, de se faire le propagandiste en chef de cette nouvelle option de la politique étrangère américaine. Ciblant surtout les pays en développement. SANS AMBAGES, le chef du gouvernement britannique avait allégrement déclaré, devant un parterre de chefs d’Etats et de gouvernements de la mouvance anglo-saxonne, que désormais, «pour prétendre bénéficier de l’aide britannique, les partenaires de (son) pays devraient respecter les droits de l’Homme, y compris ceux des homosexuels». La réplique du bouillant président zimbabwéen ne se fit pas attendre: «La Nature a créé le mâle et la femelle. Et vous, David Cameron, prétendez-vous ignorer cela ? Ou serait-ce une sorte de démence de votre part ? Ou cela fait-il partie intégrante de la culture européenne? En tous cas, nous, peuple de Zimbabwe, rejetons catégoriquement cela», avait fièrement répliqué Mugabé au Chef du gouvernement de l’ancienne puissance coloniale britannique.
Non sans lui exprimer à gorge déployée son ultime mépris, qui résonna dans toute la salle de conférence : «Go to hell» (Vas en enfer)! POUR AVOIR courageusement rejeté ces contre-valeurs, que la puissante Angleterre avait voulu inculquer à ces anciennes colonies, à travers ce lamentable chantage économique, JAMRA décida, lors de l’assemblée générale constitutive de l’Observatoire de Veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses, «Mbañ Gacce», le 25 mai 2013, au Cices, de décerner, par le biais de la représentation diplomatique de Harare à Dakar, un Diplôme d’honneur au digne Président Robert Mugabe. À TRAVERS la récurrence des manœuvres multiformes des lobbies homosexuels, dont le zèle est maintenant avéré dans l’embrigadement des pays en développement dans le club
des Nations banalisant les unions contre-nature et légalisant le mariage entre individus du même sexe, les puissances occidentales ne font maintenant plus mystère de leur volonté d’inclure dans les «conditionnalités» de l’aide au développement une «révision» des archétypes culturels et religieux qui structurent les substrats sociaux des pays destinataires de leurs aides. Pourtant États souverains. Un mépris culturel, doublé d’un odieux chantage d’Etat, qui ne dit pas son nom. Car, il est tout de même sidérant que l’occident qui prétend nous «offrir» la «Civilisation», et dont ses érudits universitaires se plaisent à nous rabâcher à longueur de journée que «la Démocratie c’est la loi de la Majorité», s’obstine paradoxalement à vouloir nous imposer une abomination rejetée par l’écrasante majorité des 98 % de croyants de notre pays, catholiques et musulmans confondus ! CONVAINCUS de la puissance de la Foi – dont Seydina Insa ibn Mariama disait «qu’elle peut soulever des montagnes», l’Ong islamique JAMRA et l’ensemble des structures de
l’Observatoire de Veille et de défense des valeurs culturelles et religieuses, «MBAÑ GACCE», tout en rappelant ce truisme que ce ne sont pas les chefs d’États étrangers qui élisent nos chefs d’États: mais le peuple-électeur lui-même; exhorte le Président Macky Sall à ne pas varier d’un iota dans son rejet du projet satanique de l’UNESCO, portant LGBTisation de notre système éducatif. De rester fidèle à cette option digne et démocratique, parce que reflétant le sentiment de l’écrasante majorité de nos concitoyens. De rester convaincu de la prééminence de la volonté du Tout-Puissant Allah, sur toutes autres tentatives humaines d’assujettissement, parce qu’étant l’Ultime Recours, Détenteur du Véritable Cordon de la Bourse : «Les trésors des Cieux et de la Terre m’appartiennent, à Moi Dieu. Mais cela les hypocrites ne peuvent le comprendre !» – Soratoul Mounafikhoune (Les hypocrites), verset 7. ENFIN, JAMRA et MBAÑ GACCE invitent les Imams, Oulémas et Prédicateurs de toutes les Mosquées et lieux de culte du Sénégal à orienter les implorations collectives
du Vendredi 19 février prochain à la préservation de notre pays contre les visées autocratiques de la nouvelle administration américaine, qui entreprend ouvertement d’imposer à 98% de croyants, musulmans et catholiques confondus, une abomination rejetée par toutes les religions révélées.

Dakar, 12 février 2021
Les Bureaux exécutifs de
JAMRA et de MBAÑ GACCE

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