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OMBRE ET LUMIERE SUR LES ATTENTATS DU 11 SEPTEMBRE 2001 A NEW YORK (par Ibrahima Dieng)

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La commémoration de l’anniversaire des tragiques attentats contre les tours jumelles de New York, symbole de la puissance économique et financière des Etats Unis, est l’occasion pour certains de s’interroger encore sur comment cela a pu arriver aux américains.

En effet, les Etats Unis d’Amérique, première au monde, présentaient jusqu’à cette date du 11 septembre 2001, un gage de sécurité, de sureté et d’invulnérabilité.

Mais l’effondrement du Word Trade Center a fait admettre à l’humanité que tout système est faillible car tous les moyens stratégiques d’informations, et de renseignements dont disposent la première puissance militaire ont été annihilés ce 11 Septembre 2001 si bien qu’elle rien vu venir du ciel jusqu’à réduire en un immense gravas les twings.

Vingt ans après, que pouvons encore dire ou redire de ces événements ?

Introduction

Dans les trois jours qui ont suivi les attentats contre le World Trade Center et le Pentagone, de très nombreuses informations supplémentaires ont été livrées à la presse par des officiels sur les aspects méconnus de ces événements. Mais elles ont été noyées dans le flot ininterrompu des dépêches relatives aux victimes et aux secours.
D’autres sont apparues sporadiquement au fil des mois, comme autant d’anecdotes, sans être replacées dans leur contexte.
Plusieurs milliers de personnes ont perdu la vie ce 11 Septembre 2001 ; et ‘’une guerre a été conduite en Afghanistan pour les venger’’.
Pourtant, ces événements restent mystérieux. Leurs relations sont emplies de bizarreries, d’incertitudes et de contradictions.
Malgré le malaise qu’ils inspirent, l’opinion publique se contente de la version officielle, étant entendu que les impératives de sécurité nationale ne permettaient pas aux autorités américaines de tout dire.
Toutefois, la version officielle ne résiste pas à l’analyse critique.
Retour sur le film des événements
New York, Mardi 11 Septembre 2001 – 08H 50 (heure locale).
Un avion de ligne de la Compagnie « American Airlines » (un Boeing 737) qui assurait la liaison Boston (Massachusetts) – Los Angeles (Californie), le Vol 11 avec à son bord 85 passagers, percute de plein fouet la Tour Nord du World Trade Center.
18 mn plus tard, à 9H 03, alors que les chaînes de télévision diffusaient en direct les images de cette Tour en flamme, un autre appareil, un Boeing 767 de « United Airlines », le Vol 175 qui assurait la liaison Boston – Los Angeles avec à bord 56 passagers, venait directement s’écraser sur la Tour du Sud du World Trade Center, provoquant une gigantesque explosion.
Entre 10h et 10h 29, les Tours Sud et Nord s’affaissent entièrement, plongeant Manhattan dans une immense masse de poussière.
Tout le Sud de l’Ile disparaît alors dans ce gigantesque nuage de poussière ; des milliers de tonnes de débris tombèrent sur tout le quartier.
Washington, le même jour – 9H 38
C’est un 3ème avion suicide, un Boeing 757, partit de l’Aéroport de Dulles (à Washington) avec 58 passagers qui s’écrase sur le Pentagone, le Quartier Général des Forces Armées Américaines.
Quelques minutes après, c’est une voiture piégée qui explose à l’intérieur du Département d’Etat selon la Chaîne de télévision NBC.
Plus tard, un 4ème avion s’écrase à 130 Km au Sud-Est de Pittsburgh (en Pennsylvanie).
Craignant d’autres attentats à la voiture piégée, l’autorité du port de New-York ferme à la circulation tous les ponts et tunnels du quartier de Manhattan.
L’alerte est aussitôt donnée : le Pentagone a été évacué ainsi que la Maison Blanche, le Capitole, le Département du Trésor et les Nations-Unies.
Les aéroports sont fermés, les écoles, les universités, de même que les frontières.
Le bilan est lourd selon le Maire de New York, Rudolph Guiliani : « près de 40 000 personnes travaillent dans les deux Tours qui se sont effondrés ».
New York, le même jour – 17H 20
L’Immeuble 7 du World Trade Center qui n’a pas été touché par les avions, s’effondre à son tour sans faire de victimes.
Selon les services d’urgence, ce bâtiment aurait tombé sous l’effet domino.
C’est extraordinaire et spectaculaire ce qui venait de se produire pour la première fois aux Etats-Unis.
Comment cela est arrivé ?
Les deux avions qui ont détruit les deux Tours du Word Trade Center, avant d’arriver à New York, ont dû baisser considérablement d’altitude, de sorte que les pilotes puissent voir les tours de face et non du dessus.
Donc pour atteindre les tours, il fallait être pré-positionné à très basse altitude : régler l’altitude et la vitesse, et positionner les appareils latéralement par rapport aux points d’impact ; la largeur des tours étant de 63,70 cm, celle de l’envergure du Boeing 767, de 47,60 m soit une différence de 16,10 m.
Un simple déplacement de 55,65 m à droite ou à gauche, et les avions auraient manqué leur frappe.
A la vitesse moyenne de 700 Km/h, cette distance est parcourue en 3/10 de secondes.
Mais on remarque en observant les vidéos, que les appareils ont percuté avec précision le centre des cibles.
Le premier avion est arrivé parfaitement de face dans le sens du vent, ce qui a facilité la stabilité de sa trajectoire ; tandis que le second appareil a été obligé de réaliser une manœuvre complexe de rotation, particulièrement difficile face au vent.
Interrogés, des pilotes professionnels ont dit que, peu d’entre eux sont capables de réaliser une telle opération, à plus forte raison, des pilotes amateurs.
Des balises au World Trade Center
Il existe par contre, un moyen infaillible d’atteindre ce but : l’utilisation de balises. Il s’agit d’un signal émis depuis la cible attirant l’avion qui est ainsi guidé automatiquement.
Or, l’existence d’une balise dans le World Trade Center est attestée par des radios amateurs qui ont enregistré son signal.
Elle a été détectée parce qu’elle interférait avec les émissions des antennes de télévisions placées sur les Tours. Il est possible que les pirates aient utilisé deux balises car une seule aurait difficilement fait l’affaire malgré l’alignement des cibles.
De toute manière, il leur fallait des complices au sol pour réussir un tel attentat si bien qu’ils n’avaient pas besoin d’être nombreux à bord avant le décollage parce qu’il n’y avait pas d’otages à prendre.
Ainsi, en piratant les ordinateurs à bord avant le décollage, il était possible de prendre le contrôle des appareils en vol, grâce à la technologie du G.H. (Global Hawk), mise au point par le Département de la Défense. Le Boeing devient alors téléguidé, comme un drone (un avion sans pilote).
Le rôle de la CIA
Par la suite, les tours jumelles se sont effondrées sur elles-mêmes.
Une commission d’enquête a été confiée à la Société Américaine des Ingénieurs Civils (ASCE) par la FEMA (la Federal Emergency Management Agency).
Selon le rapport préliminaire, la combustion du kérosène aurait dégagé une forte chaleur telle que la structure métallique centrale était fragilisée.
Cette théorie est rejetée avec vigueur par les Associations de Pompiers de New-York et par la revue professionnelle «Fire Engineering » qui, calculs à l’appui, assurent que les structures métalliques pouvaient résister longtemps au feu.
Pire, les pompiers affirment avoir entendu des explosions à la base des buildings et réclameraient l’ouverture d’une enquête indépendante.
Ils s’interrogent sur les substances qui étaient stockées dans les bâtiments et, à défaut de réponse, sur de possibles explosions criminelles impliquant une équipe au sol.
Cette hypothèse a été soutenue par Van Romero, un expert du New Mexico Institute of Mining and Technology qui affirme que « l’affaissement ou l’effondrement des tours sur elles-mêmes n’a été causé que par des explosifs ».
Quoi qu’il en soit, le « crash » des avions ne permet d’expliquer la chute du 3ème Building, la Tour 7.
Elle ne s’est pas penchée, mais elle s’est effondrée sur elle-même.
C’est là qu’intervient un scoop du New York Times : « Le World Trade Center, que l’on croyait être une cible civile, cachait une cible militaire secrète ».
Peut-être que des milliers de personnes ont péri parce qu’elles servaient à leur insu de bouclier humain ?
La Tour 7, (peut-être aussi d’autres bâtiments et leur sous-sol) masquait une base de la CIA.
La base CIA de New-York était devenue le plus important centre mondial d’intelligence économique.
Cette réorientation du renseignement était vivement contestée par la branche la plus traditionnelle de la CIA et par l’Etat-Major Interarmes.
Rétrospectivement, on peut se demander si la cible de l’attentat commis au World Trade Center le 26 Février 1993 et qui avait fait 6 morts, un millier de blessés n’était pas orchestré, monté par la CIA ? Car aujourd’hui, il y a véritablement des incohérences et une succession de hasards qui ont du mal à être compris :
l’attentat s’est produit un jour ouvrable (Mardi) ;
à une heure où tous les travailleurs devraient être sur place au bureau (8H 56).
Chaque Tour compte 110 étages ; chaque étage contient en moyenne 136 personnes.
Donc ce Mardi matin, il devrait y avoir 30 à 40 000 personnes dans les deux Tours jumelles.
Donc comment expliquer le bilan officiel publié le 09 Févier 2002 dernier faisant état de 2 843 morts (nombre total incluant les passagers et personnels d’équipage des Boeing, les policiers et pompiers victimes de l’effondrement des Tours et les usagers du World Trade Center ?
Ce qu’on sait et qu’on peut dire ; ce qui est plausible, c’est que le premier Boeing a percuté la Tour Nord entre le 80ème et le 85ème étage. Les occupants de ces niveaux sont immédiatement morts soit sous l’effet du choc, soit lors de l’incendie qui s’en est suivi.
Les personnes qui se trouvaient dans les étages supérieurs sont de ce fait, prises au piège avec l’incendie qui se propage vers le haut.
Certains ont d’ailleurs préféré se jeter par les fenêtres dans le vide, plutôt que de mourir brûlés vifs.
Ainsi, on peut affirmer que toutes les personnes qui se trouvaient dans les 30 étages supérieurs sont mortes.
Grosso modo, d’après ce calcul moyen, il devait avoir au minimum 4 080 morts ; donc loin du chiffre de 2 843 morts avancé par les autorités américaines.
Ce bilan laisse à penser que malgré les apparences, les attentats contre le Word Trade Center ne visaient pas à provoquer d’énormes pertes humaines. C’est ce qui expliquerait peut être en partie, le fait que beaucoup de personnes soient absentées de leur bureau ce Mardi 11 Septembre 2001.
Des messages d’alerte à l’absence du Président Georges Bush de Washington
Aussi, selon le quotidien Israélien « Ha’aretz » la firme de téléphonie mobile Odigo (leader en matière de messagerie électronique) avait anonymement reçu des messages d’alerte l’informant des attentats de New-York, deux heures avant qu’ils ne se produisent.
Les faits ont d’ailleurs été confirmés par Micha Macover, le Directeur d’Odigo.
Donc, on peut dire que des mises en garde de toute sorte ont pu être adressées à des occupants de la Tour Nord, même si tous ne les ont probablement pas pris au sérieux de la même manière.
Paradoxalement, il s’agit là du même schéma, ou plutôt un schéma comparable à celui de l’attentat perpétré le 19 Avril 1995 à Oklahoma-City.
Ce jour-là, une grande partie des fonctionnaires travaillant dans l’immeuble fédéral Alfred Murrah avaient reçu leur congé pour la demi-journée, de sorte que l’explosion d’une voiture piégée ne tua que 168 personnes. Cet attentat, on le sait maintenant, a été réalisé par des militaires américains appartenant à une organisation d’extrême droite, elle-même infiltrée par le FBI.
A Oklahoma City, le FBI avait donc laissé commettre un attentat dont il avait été informé auparavant ; mais ayant tout fait pour limiter l’ampleur de la catastrophe.
Autre fait troublant, c’est l’absence du Président Georges Walker Bush ce 11 Septembre 2001 de la Maison Blanche et de la résidence de Camp David (dans le Maryland). Il se trouvait loin de Washington et de New-York, à Sarasota (en Floride).
Dans ses propres déclarations, il dit avoir « vu les images du premier crash »…en direct à la télévision.
On nous apprend que ce 11 Septembre 2001, les frères Naudet (Jules et Gédéon) ont passé toute la journée à filmer le World Trade Center.
En plus, on nous dit que le film de leur vidéo n’a été diffusé que vers 23H par l’Agence Gamma.
Donc, ce ne sont pas ces images que le Président Bush a vu à 8H 50 du matin à Sarasota.
En vérité donc, c’était des images secrètes filmées et transmises à l’instant par câble dans la Salle de communication sécurisée qui avait été aménagée à l’école primaire de Sarasota en prévision de la visite du Président, que Georges Bush a vues.
Alors, si les services de renseignement américains ont pu filmer le premier attentat, c’est qu’ils en avaient été informés auparavant ?
Et dans ce cas, pourquoi n’ont-ils rien fait pour sauver leurs compatriotes ?
Aucun avion ne s’est écrasé sur le Pentagone
Washington, Mardi 11 Septembre 2001 – 9H 38
Un avion s’écrase sur le Pentagone.
Pourtant, première sur les lieux, l’Agence de presse Reuters annonce que le Pentagone a été touché par l’explosion d’un hélicoptère.
Cette nouvelle est confirmée par téléphone à l’Associated Press par Paul Bégala, un consultant démocrate.
Mais quelques minutes plus tard, le Département de la Défense corrige l’information : « c’est un avion ».
Selon le Chef Etat-Major Interarmes, le Général Richard Myers « l’avion suicide » était le Boeing 757-200 du Vol 77 d’Américan Airlines qui assurait la liaison Dulles – Los Angeles.
De nouveaux témoignages viennent contredire les premiers, et créditer la version des autorités :
Fed Hey, l’Assistant parlementaire du Sénateur Bob Ney a vu tomber un Boeing alors qu’il conduisait sur l’autoroute jouxtant le Pentagone.
Le sénateur Mark Kirk était en train de sortir du parking du Pentagone après avoir pris le petit déjeuner avec Donald Rumsfeld lorsqu’un gros avion s’est écrasé.
Les secours s’organisent aussitôt l’alerte donnée. Les pompiers du Comité d’Arlington sont les premiers sur les lieux puis quatre équipes de l’Agence Fédérale d’Intervention dans les Situations de Catastrophe (FEMA) et enfin, les pompiers spécialisés de l’Aéroport Ronald Reagan.
La presse est maintenue à l’écart du lieu de la catastrophe pour ne pas gêner les secours.
C’est vers 10H 10 que l’aile du Pentagone qui a été touchée s’effondre.
Associated Press réussi à avoir des photos prises par un particulier depuis un immeuble voisin sur l’arrivée des pompiers.
Ainsi, pour le monde entier, par les attentats, les Etats- Unis étaient bien vulnérables.
Entre le FBI et la CIA
A première vue, les faits sont indiscutables. Et pourtant, dès que l’on entre dans les détails, les explications officielles deviennent troublantes et contradictoires.
Les contrôleurs aériens de l’aviation civile ont expliqué que c’est vers 8H 55 qu’ils ont perdu les traces du Boeing après que l’avion soit descendu à 29 miles pieds et n’avait plus répondu aux injonctions de la Tour de Contrôle.
Une communication radio interceptée laissait entendre une voix à fort accent arabe menaçant le pilote.
Alors, les contrôleurs notifièrent au Fédéral Aviation Administration (FAA), le détournement du Boeing. Mais la plupart des responsables nationaux étaient absents, partis au Canada pour un Congrès.
C’est à 9H 24 que les responsables militaires au siège de la FAA ont compris qu’il y avait bien détournement d’avion sur Washington et New-York.
Interrogé le 13 Septembre 2001 par la Commission Sénatoriale des Forces Armées, le Chef d’Etat- Major Interarmes, le Général Richard Myers fut incapable de rapporter les mesures qui furent prises pour intercepter le Boeing.
On note toutefois que, c’est 29mn après que l’alerte soit donnée par les contrôleurs aériens, que le Commandement pour la Défense de l’Espace Nord-Américain (NORAD) a é té informé.
Il assura avoir immédiatement donné ordre aux deux chasseurs F16 de la Base de Langley en Virginie d’intercepter le Boeing.
On indique qu’Air Force ne sachant où se trouvait le Boeing, aurait pensé qu’il allait commettre un nouvel attentat à New-York ; ainsi NORAD envoya les chasseurs vers le Nord.
Toutefois,
On sait qu’un avion de transport militaire, décollant de la Base présidentielle de Saint-Andrew, aurait croisé le Boeing par hasard et l’aurait tout de même identifié ?
Comment et pourquoi le système radar militaire était incapable de localiser un Boeing dans une zone de quelques dizaines de kilomètres de rayon ? Et qu’un gros avion de ligne puisse semer les puissants F-16 lancés à sa poursuite ?
3) A supposer que le Boeing ait franchi ce premier obstacle, il devait être abattu à l’approche du Pentagone ?

En effet, le dispositif de sécurité anti-aérien qui protège le Département de la Défense est bien évidemment un secret militaire et qu’il est contrôlé depuis la Base Présidentielle de Saint-Andrew. Deux escadrons de combats y stationnent en permanence : le 113e Fighter Wing de l’Air Force équipé de F-16 ; et le 321e Fighter Attack de la marine équipé de F/A18.

Finalement, ayant donc égaré les chasseurs et franchi sans dommage la défense anti-aérienne, le Boeing d’American Airlines s’écrasa ainsi sur le Pentagone.

Tentative d’explication

Un Boeing 753-200 est un cargo capable de transporter 139 passagers. Il mesure 47m 32 de long et 38m 05 d’envergure. Rempli de passagers, il pèse 115 tonnes et atteint néanmoins une vitesse de croisière de 900 km/h.

Le Pentagone quant à lui, est le plus grand bâtiment administratif du monde. 23 000 personnes y travaillent chaque jour.
Il tient son nom de sa structure originale : 5 anneaux concentriques de 5 cotes chacun. Il est construit non loin de la Maison-Blanche, mais sur l’autre rive du Potomac. Il ne se trouve donc pas dans Washington même, mais à Arlington, dans l’Etat voisin de Virginie.

Mais pour causer d’importants dégâts, le Boeing aurait du piquer tout droit sur le toit du pentagone ; ce qui n’a pas été le cas. Les terroristes ont choisi de frapper une façade du bâtiment bien que sa hauteur ne soit que 24 m.

Le Boeing aurait soudainement approché du sol, comme pour atterrir. Tout en restant horizontal, il est descendu presque à la verticale, sans endommager les lampadaires de l’autoroute qui borde le parking du Pentagone ; ni en les heurtant, ni même par le souffle de son déplacement.
En baissant d’altitude, le train d’atterrissage sort automatiquement, bien qu’il mesure alors 16 m de haut, soit l’équivalent de trois étages, le Boeing a percuté la façade de l’immeuble seulement, à hauteur du rez-de-chaussée et du premier étage.
Défaillance des systèmes radars ?
Les photos récupérées par l’Associated Press montrent que la pelouse n’a pas été endommagée, ni le mur, ni le parking, ni l’héliport !
Malgré son poids (plus de 100 tonnes) et sa vitesse (environ 400 à 700 km/h), le Boeing n’a détruit que le premier anneau du Pentagone faisant 25 morts auxquels il faudra ajouter les 64 personnes à bord de l’avion.
C’est là qu’interviennent plusieurs hasards :
1) l’avion a percuté la portion du Pentagone qui était en réfection. On devait y installer tout de même, le tout nouveau Centre de Commandement de l’US-Navy ;
2) pendant la catastrophe il n’y avait là que des civils. Plusieurs bureaux étaient inoccupées, seul un général a trouvé la mort ;
3) enfin le hasard veut aussi que les étages supérieurs du bâtiment soient effondrés 30 mn plus tard.
Ces hasards sont troublants au moins que … le reste de la version officielle est carrément inadmissible. En plus, si vous vous reportez à la photo de l’Associated Press, vous constaterez qu’il n’y pas d’épave calcinée après la catastrophe.
Par-là, on peut donc déduire :
qu’aucun avion ne s’est écrasé sur le pentagone car les photos prises l’ont été dans les premières minutes, au moment où les camions des pompiers sont justes arrivés ;
les caméras de vidéosurveillance du parking du Pentagone elles aussi, n’ont pas vu le Boeing, à aucun moment et sous quelque angle que ce soit.
Interrogé sur CNN au lendemain des attentats, le Général Wesley Clarck, ancien Chef des Forces de l’OTAN durant la guerre du Kossovo, déclarait : « nous étions au courant depuis quelques temps que certains groupes planifiaient une attaque contre le Pentagone, évidement nous n’en savions pas assez pour agir ».
C’est dire que cette affirmation énigmatique ne fait aucune référence à un agresseur extérieur, mais aux menaces proférées par des milices d’extrême droite américaine contre le Pentagone.
Ceci laisse entrevoir des affrontements secrets qui déchirent la classe dirigeante américaine, tant au plan politique, sécuritaire que militaire.

En définitive, on retient que 125 personnes sont mortes dans l’attentat contre le Pentagone et qu’un avion d’American Airlines transportant 64 passagers a disparu.

Quelle est la cause de l’explosion qui s’est produite à l’intérieur du Pentagone ?
Qu’est devenu le Vol 77 d’American Airlines ? Les passagers sont-ils morts ?
Autant de questions qui constituent encore un véritable mystère.

Menaces sur la sécurité présidentielle ?

C’est aux environs de 10h, ce Mardi 11 Septembre 2001 que l’alerte général a été donnée.

Le Directeur du FBI, Robert Mueller active le CONPLAN : toutes les agences gouvernementales sont informées des attentats et priées d’être à la disposition du SIOC (le Centre d’Operations et d’Information Stratégique) du CDRG (Le Groupe de Reponse aux Situations de Catastrophe) de l’Agence Fédérale de Gestion des Crises (FEMA).

Tous les bâtiments administratifs, le siège de l’ONU et les principaux lieux regroupant du public sont évacués par crainte d’autres opérations terroristes.

Auparavant, à 9h 42, la chaîne de télévision ABC avait diffusé en direct des images d’un incendie de l’annexe de la Maison-Blanche, l’Old Exécutive Building.

ABC s’était contenté de montrer un plan fixe des volutes de fumée noire s’échappant de l’immeuble.

A 10h 05, une autre alerte est donnée par le Service de Protection des Hautes Personnalités : « la Maison-Blanche et Air Force One (l’avion présidentiel) sont menacés. » Aussitôt, des éléments de la sécurité du Vice-Président emmènent Dick Cheney dans le bunker du PEOC (le Présidentiel Emergency Opération Center), la salle de commandement souterraine située sous l’aile Ouest de la Maison-Blanche.

A 10h 30, le Plan de Continuité du Gouvernement est activé. Les principaux dirigeants politiques du pays, membres du gouvernement et du Congrès sont évacués par des hélicoptères de la marine et placés dans les deux gigantesques abris anti-atomiques de Mount Weather en Virginie et de Raven Rock Mountain, près de Camp David dans le Maryland.

A 11h, le Président Georges Bush après une brève déclaration quitte Sarasota (en Floride) et décide de rentrer à Washington ; mais n’y parviendra pas.
Air Force One est sommé de se rendre à la Base de Barksdale (en Louisiane) puis à celle d’Offutt (au Nebraska).
C’est à la Base d’Offutt que se trouve le siège du Commandement Stratégique Américain, le lieu nodal ou s’active la force nucléaire de dissuasion.

Entre Barksdale et Offutt, Air Force One vole à la basse altitude, en zigzag, escorté par des chasseurs.
Sur ces bases militaires, le Président traverse les tarmacs à bord de véhicules blindés pour échapper (dit-on), aux tirs de snipers.

C’est à 18h qu’il quitte Offutt pour rentrer à Washington.

L’affaire des codes secrets, visait-elle le Président Bush ?

Invité de Tim Russert, animateur de l’émission télévisé « Meet the Press » sur NBC, Dick Cheney dira cinq jours après les attentats qu’il était évacué de force par ses officiers de sécurité dans le bunker de la Maison-Blanche.

La presse des 12 et 13 Septembre 2001 affirme quant à elle que, selon le Porte-parole de la Maison-Blanche Ari FLEISCHER, le Secret Service aurait reçu un message des assaillants indiquant qu’ils comptaient détruire la Maison-Blanche et Air Force One.
Plus surprenant dans cette affaire, selon le New-York Times, les assaillants auraient utilisé les codes d’identification et de transmission de la Présidence afin que leurs menaces soient prises au sérieux.
Plus grave, selon le World Net Daily, citant des officiels du renseignement, les assaillants auraient également disposé des codes :
de la Drug Enfoncement Administration (DEA)
du National Reconnaissance Office (NRO)
de l’Air Force Intelligence (AFI)
de l’Army Intelligence (AI)
de la Naval Intelligence (NI)
du Marine Corps Intelligence (MCI)
et des Services de Renseignement du Département d’Etat et du Département de l’Energie.
Il convient de savoir que chacun de ces codes n’est détenu que par peu de responsables ; et personne n’est d’ailleurs habilité à en détenir plusieurs.
On se demande alors, s’il était possible que depuis des grottes en Afghanistan, des terroristes islamistes soient en mesure de percer le mystère et le mythe de la sécurité américaine ?
Certainement, les auteurs des attentats ont été assistés par les taupes, et pas des moindres. De hauts officiers de la CIA et du FBI auraient surement collaboré avec les auteurs des attentats, si ce n’est pas eux qui ont monté le coup exécuté par les pirates.
Quoi qu’il en soit, l’affaire des codes révèle une complicité d’agents de l’appareil d’Etat Américain et des Services de Renseignement dans les attentats du 11 Septembre 2001. Car ce sont eux qui sont en mesure de poster des snipers pour s’attaquer au Président jusqu’à l’intérieur des bases stratégiques de l’US Air Force.
Ainsi, la garde rapprochée du Président Bush l’avait certainement compris ou appris en utilisant des véhicules blindés sur les tarmacs d’Offutt et de Barksdale pour protéger le Président.
Un autre aspect de cette affaire révèle l’existence d’une négociation parallèle.
Si les assaillants ont pris contact avec le Secret Service et ont utilisé des codes secrets pour authentifier leurs appels, c’est dans un but précis : leurs messages contenaient soit une menace, soit un ultimatum.
Dès lors, si l’on admet que la menace s’est dissipée en fin de journée, on pourrait conclure que le Président Bush a cédé ou fait des concessions pour rentrer à Washington.
Car en disposant des codes d’authentification et de transmission de la Maison-Blanche et de l’avion présidentiel, les auteurs des attentats pouvaient usurper la qualité du Président des Etats-Unis. Ils pouvaient à leur gré, donner des instructions aux armées et même déclencher l’arme nucléaire.
C’est qu’a compris la garde rapprochée de Bush en l’amenant au siège de l’US Stratégique Command à Offutt, pour permettre au Président de continuer à maitriser ses armées et d’y donner personnellement des ordres ou des contre-ordres.
Mais que le chemin fut difficile pour Gorges Bush d’arriver à Offutt en partance de Sarasota.
Une escale technique fut donc programmée à Barksdale pour permettre à l’avion présidentiel de se ravitailler en kérosène, car en volant à basse altitude, Air Force One consomme plus de carburant, d’autant plus qu’il ne pouvait être ravitaillé en haute altitude sans s’exposer.
Mardi 11 Septembre 2001, Base Miliaire de Barksdale, Nebraska – 12h 00
Le Président Georges Bush s’adresse à la Nation américaine.
Ce message est enregistré et diffusé en différé par le Pentagone à 13h 04.
« Je tiens à rassurer le peuple américain sur le fait que toutes les ressources du gouvernement fédéral travaillent à assister les autorités locales en vue de sauver des vies et d’aider les victimes de ces attaques.
Que personne ne s’y trompe, les Etats-Unis traqueront et puniront les auteurs de ces actes lâches. Je suis en contact régulier avec le Vice-Président, avec le Secrétaire à la Défense, avec l’équipe de sécurité nationale et avec mon Cabinet.
Nous avons pris toutes les précautions appropriées pour protéger le peuple américain. Nos militaires, aux Etats-Unis et autour du monde, sont en état d’alerte maximum et nous avons pris les précautions nécessaires de sécurité pour continuer les fonctions de l’Etat.
Nous avons pris contact avec les chefs de file du Congrès et avec les dirigeants mondiaux pour assurer que nous ferons tout ce qui est nécessaire pour protéger l’Amérique et les Américains.
Je demande au peuple américain de se joindre à moi pour remercier toutes les personnes qui déploient toute leur énergie à secourir nos concitoyens et pour dire une prière pour les victimes et leurs familles.
La résolution de notre grande Nation est mise à l’épreuve.
Mais, ne vous y trompez pas : nous montrerons au monde que nous surmonterons cette épreuve.
Que dieu vous bénisse ».

Ce qui frappe dans cette allocution, c’est que le Président évite soigneusement de désigner les assaillants ou les auteurs. Il n’emploie plus le mot de « terrorisme » ou de « terroristes ». Il laisse entendre qu’il s’agirait d’un début de conflit militaire classique ou de tout autre chose.
Il évoque une « mise à l’épreuve » qui sera surmontée, semblant annoncer de nouvelles catastrophes.
Plus surprenant aussi, il ne livre aucune explication de son absence de Washington, donnant l’impression qu’il à fui devant un danger auquel ses concitoyens restent exposés.
S’agissant de l’activation de la Procédure de Continuité du Gouvernement (COG), on peut l’interpréter de deux manières dans un tel contexte :
l’explication la plus simple est de considérer qu’il fallait protéger le Président et les responsables politiques de l’action de traîtres ; eux qui sont capables de provoquer un incendie dans le Old Exécutive Building et de voler les codes secrets de la présidence et des agences de renseignement ;
on peut aussi considérer à l’inverse, le Plan de Continuité du Gouvernement n’a été mis en œuvre pour protéger les dirigeants politiques des traîtres ; mais par les traîtres pour les isoler, pour les être davantage en sécurité.
Ce qui est surprenant, c’est que le Vice-Président Dick Chenney soutient que « des éléments du Secret Service l’ont enlevé de son bureau et l’ont conduit au bunker de la Maison-Blanche sans recueillir son assentiment. »
Il laisse entendre qu’il en a été de même pour les principaux membres du gouvernement et du Congrès.
Des contradictions voir des zones d’ombre inquiétantes
Disposant de moyens d’investigation ultra sophistiqués, le FBI se devait d’élucider chacune des contradictions et interrogations que nous avons relevées.
Il aurait dû prioritairement :
étudier les messages des assaillants au Secret Service pour les identifier ;
traquer les financiers impliqués dans les préparatifs des attentats ;
remonter à la source des messages d’alerte envoyés à la firme Odigo pour prévenir les occupants du World Trade Center deux heures avant les attentats.
Or, comme nous venons de monter, loin de conduire une enquête criminelle, le FBI s’est appliqué à faire disparaitre des indices et à museler des témoignages.
Il a soutenu la version de l’attaque extérieure et a tenté de la créditer en divulguant une liste improvisée des pirates de l’air, et en fabriquant de fausses pièces à conviction comme le passeport de Mohamed Atta, etc.
Cette opération de manipulation a été orchestrée par le Directeur de la CIA Robert Mueller nommé par Georges Bush et qui avait pris fonction une semaine avant le 11 Septembre 2001.
Cette enquête a-t-elle été conduite pour instruire un procès équitable ou pour occulter les responsabilités américano-américaines et justifier les opérations militaires en Afghanistan ?
En réalité, bien avant le 11 Septembre 2001, un débat agitait Washington sur l’éventualité d’une intervention des forces armées américaines en Asie Centrale. Deux options étaient sur la table : des frappes sur l’Afghanistan ou une guerre générale au terrorisme.
Avec les attentats du 11 Septembre, ils ont donc trouvé une occasion rêvée.
Pourquoi l’isolement de la presse dans cette affaire ?
Dans les jours qui ont suivi les attentats, les autorités américaines prennent des mesures pour garantir le secret de l’enquête sur les événements.
Elles cherchent alors à isoler la presse notamment la presse d’investigation qui avait tenté d’expliquer le non-remplissage des avions qui sont écrasés, aussi bien que l’absence de pirates de l’air sur les listes de passagers.
Au soir du 11 Septembre 2001, le FBI demande aux compagnies aériennes de ne pas communiquer avec la presse.
Ce même soir, la Police Fédérale saisit et met sous scellés les films vidéo des journalistes Jules et Gédéon Naudet qui se trouvaient à Manhattan lors des attentats.
Ces images vidéo pourraient pourtant permettre de mieux comprendre l’effondrement du World Trade Center.
Le FBI demande aussi à la société Odigo de ne pas communiquer avec la presse.
Pourtant, il serait intéressant de connaître la teneur exacte du message d’alerte reçu par beaucoup de travailleurs du World Trade Center et les mesures prises pour limiter le nombre de personnes dans les tours.
Dans le même sillage, le Pentagone interdit tout contact entre ses personnels impliqués et la presse. Les journalistes ne peuvent interroger ni les pilotes de chasse, ni les personnels des Bases de Barksdale et d’Offutt.
Le Président Georges Bush lui, demande personnellement aux leaders du Congrès de ne pas créer une commission d’enquête sur les événements du 11 Septembre pour « ne pas mettre en péril la sécurité nationale ».
Le 10 Octobre 2001, la Conseillère Nationale de Sécurité, Condolezza Rice, convoque à la Maison-Blanche les directeurs des grandes chaînes de télévision (ABC, CBS, CNN, FOX News, MSNBS et NBC) pour faire appel à leur sens des responsabilités.
Pour elle, « si la liberté d’expression reste la règle, les journalistes sont invités à exercer par eux-mêmes, un « jugement éditorial sur l’information» et à s’abstenir de diffuser tout ce qui pourrait nuire à la sécurité du peuple américain. »
Cette mise en garde fera ses effets : immédiatement, Ron Gutting (Rédacteur en Chef du City Sun) et dans Guthrie (Rédacteur en chef du Daily Courier) sont licenciés pour avoir osé critiquer cette ligne de l’Administration Bush qui vise à museler la presse dans la recherche de la vérité dans ces événements.
Pour couronner cette série de mesures, le Congrès vote l’US Patriot Act qui permet au FBI d’intercepter les communications hors du contrôle d’un magistrat. Cette mesure est applicable aux communications échangées par des ressortissants étrangers, entre pays étrangers, mais transitant par le territoire américain via internet.

Conclusion

La version officielle des événements du 11 Septembre 2001 ne permet pas de justifier certains faits et certains revirements de situation dans l’optique de comprendre ce qui s’est passé.

Mais à la lumière de tout cela, et tenant compte des nombreuses contradictions et zones d’ombre qui subsistent dans les investigations et les analyses des attentats du 11 Septembre 2001, on peut bien penser que ces événements ont été perpétrés avec des complices à l’intérieur même de l’appareil d’Etat américain.
Néanmoins, cette conclusion nous heurte parce qu’Oussama Ben Laden a été désigné (liquidé plus tard), et que la coalition américano-britannique a fini la guerre en Afghanistan qui a vu le reversement du régime des talibans et l’installation d’un pouvoir proaméricain dirigé à l’époque par le Président Amim Karzaï.
Cette conclusion nous heurte parce qu’il nous est pénible d’envisager que les américains aient pu cyniquement sacrifier près de 6000 de leurs compatriotes pour une question de lobbies ou autre.
Par ailleurs, il se trouve que ces attentats étaient connus de cinq services de renseignements (Allemand, Égyptien, Français, Israélien et Russe) ; par un agent de la Navale Intelligence en occurrence le Lieutenant Vreedand et des auteurs anonymes des messages d’alerte envoyés à la firme de téléphonie mobile Odigo, sans parler des initiés qui spéculaient en bourse.
Jusqu’où allaient les fuites ?
Jusqu’où s’étendent les implications des uns et des autres ?
Il faudra des décennies pour connaître certainement toute la lumière et lever toutes les zones d’ombre que cachent les attentats contre le Word Trade Center et le Pentagone.
Hasard du calendrier et ironie du sort, ce vingtième anniversaire coïncide avec le retour des Talibans au pouvoir en Afghanistan après avoir été chassés par les américains en 2001.

Ibrahima Dieng

Chroniqueur International
Chef du Desk International de la Radio Oxyjeunes de Pikine

Directeur Administratif et Financier du
Groupe Scolaire le Baobab de Guédiawaye
Email : diengdaf241@yahoo.com – TEL : 77 526 11 51

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