Les pouvoirs de l’office national anti corruption ont été considérablement accrus. Concernant le président de l’OFNAC, Serigne Bassirou Guèye, il peut placer une personne en garde à vue. Une prérogative qui était jusque-là accordée au procureur de la République. Une source judiciaire souffle à L’AS dira à ce propos que cela « n’est pas conforme à la Constitution » surtout sur la mesure concerne « le président d’une autorité administrative indépendante qui est l’OFNAC ». Senefil.com est allé fouiller dans la nouvelle loi.
Voici la partie incriminée