Le rapport produit par la direction de la santé, de la mer et de l’enfant aidée par la chaîne de gynécologie de l’université sur les circonstances de la mort d’Astou Sokhna est sans appel. Le quotidien SOURCEA qui nous livre les bonnes feuilles renseigne qu’il est reproché à la sage-femme et l’infirmière de garde un déficit dans la qualité des soins reçus par la défunte… À l’ancien directeur qui vient d’être limogé, il est reproché une absence totale de note de procédure dans son management de la structure.