Qui se ressemble s’assemble dit l’adage. Madiamal Diagne n’a rien à envier au ministre de la justice Malick Sall, à Aliou Dembourou Sow et Farba Ngom. Il est même pire que le régime puisque lui se met à défendre l’indéfendable comme le faisait ce diable de Goebbels, le chef de la propagande d’Hitler.
Macky peut donc dormir tranquille puisqu’il peut compter sur le soutien d’un patron de presse qui n’a aucune limite quand il s’agit de plaider les causes perdues. Ce vieux briscard de la pire espèce n’a que d’yeux pour l’argent. C’est la seule explication à donner à sa dernière chronique dans laquelle il traite littéralement Ousmane Sonko de rebelle tout en faisant fi des propos tenus récemment par son ami, le garde des sceaux qu’il avait tenu à défendre dans l’affaire Téliko allant même jusqu’à imputer un dossier imaginaire au président de l’UMS.
Madiamal Diagne est loin d’être un exemple. Les actes qu’ils posent sont même aux antipodes de l’éthique et la déontologie journalistique. Donc le Cored a aujourd’hui l’obligation de taper du point sur la table pour rappeler à l’ordre ce danger pour la cohésion sociale du Sénégal.