Yakham Mbaye et les travailleurs du quotidien national le soleil ne sont pas en odeur de sainteté. La cause est dûe aux acquis des employés du groupe que le nouveau directeur général a remis en question ou n’a pas respecté à la lettre. Ce qui est à l’origine de la brouille relayée ce jeudi 28 juillet 2022 par plusieurs sites d’information. senefil.com a mené son enquête.
Yakham Mbaye n’oubliera de sitôt le sale quart que les travailleurs du quotidien national le soleil lui ont fait passer. Lui qui, nous dit-on, ne vient au bureau qu’à des heures tardives. Ainsi il s’assure de ne pas faire de mauvaises rencontres. Mais il était obligé de se rendre au siège où il devait rencontrer le nouveau Pca. Une occasion mise à profit par les leaders des syndicats pour aller en découdre avec leur boss qui n’a dû son salut qu’à la bienveillance d’un de ses proches collaborateurs qui s’est interposé, selon les confidences faîtes à senefil.com. Mais ce n’est que partie remise puisque les problèmes entre Yakham Mbaye et ses employés ne sont pas prêts de s’estomper.
L’un des reproches faits au niveau DG est de n’avoir pas soldé les primes de déplacement durant la campagne. Certains journalistes que nous avons contactés renseignent qu’ils ont juste reçu la moitié et que le reste se fait toujours désirer alors que la campagne tire à sa fin. Alors qu’ils comptent sur cet argent pour se loger, nourrir, envoyer leur papier. En effet, cela concerne les envoyés spéciaux qui ont été déployés à l’intérieur du pays. Mais aussi les reporters qui sont à Dakar et les correspondants. Des acquis de l’accord cadre que le nouveau DG du soleil est en train vraisemblablement de remettre en question. Il y a aussi les pourcentages que les travailleurs devaient recevoir sur les publireportages.
La liste des droits que les travailleurs du soleil croyaient acquis que Yakham Mbaye est en train de remettre en question sont nombreux. À cela s’ajoutent les relations heurtées entre le nouveau DG et certaines têtes brûlées. Autant de choses qui font que le DG du quotidien national est tant honni par ses employés.
