Winston churchill disait : « mieux vaut prendre le changement par la main avant qu’il ne vous prenne par la gorge ».
Nous sommes témoins d’un processus de redynamisation du « sens du terroir » dans la région de Matam avec comme commandant pilote, le Garde des sceaux Maître Malick Sall.
Le ministre de la justice soutient mordicus que le développement du pays passe par celui des territoires qui le composent. Cette idée est en permanence jointe aux actes qu’il mène au quotidien dans le Fouta. A toutes les échelles d’interventions, partout où l’aide et le soutien extérieur sont sollicités, le Garde des sceaux apparaît tel un Robin des bois afin de juguler les souffrances et permettre aux plus démunis de joindre les deux bouts.
Malgré vos chantiers titanesques en matière de développement et de réduction des peines des populations, vous continuez d’être la cible de quelques personnes qui n’ont malheureusement pas le sens de la distinction. Vous êtes totalement à la gauche de ce qu’ils pensent combattre et les faits (unique baromètre pour jauger l’honorabilité d’une personne) le prouvent à suffisance.
C’est les politiques qui feront le développement de l’Afrique disait Hamidou Hanne et non les entrepreneurs. La jeunesse doit s’inspirer de leaders politiques intègres, altruistes et soucieux des conditions de vie de leurs concitoyens. La politique c’est la conjugaison des ambitions personnelles aux attentes collectives des populations. Fauchez ce procédé et vous deviendrez autre chose mais pas un homme politique. Si nous l’avons compris c’est en partie parce que nous vous observons, Monsieur le ministre.
Maître, nous faisons partie de cette jeunesse qui croit profondément que vous êtes à soutenir. Et dans la mesure de nos moyens nous allons nous y atteler. Car vous soutenir c’est œuvrer pour le développement.
Niakasso Dianka
Coordonnateur de l’Alliance de jeunes pour le développement de la commune de OGO (AJDECO)
