« Pratiquement, on a au minimum un décès par jour, c’est vraiment déplorable. Nous sommes à 30 cas graves au niveau du CTE et il comprend actuellement 38 lits donc il ne reste que 8 lits disponibles. Il y a aussi beaucoup de cas à domicile, 524 sont suivis à domicile », a déclaré Ousseynou Bernard Diatta, le point focal régional du PEV. Ainsi donc, les patients traités à domicile dans la région devraient être plus nombreux si rien n’est fait. Un état de fait qui rappelle que notre système santé est encore très fébrile malgré les récents investissements de l’État.